Il y a des jours comme ça où les mots glissent naturellement sur le papier. Une lecture, un film, une chanson, une action, une phrase, etc. et bim! l’inspiration est au RDV, tout est fluide.

Et voilà comment l’article ci-dessous a vu le jour le 12 avril 2020, en lisant l’intro de BIBA « Nan, mais tu rêves! »

Le 12 avril 2020:

J’avais envie, aujourd’hui, de vous écrire un article sur les rêves_que l’on considère encore trop peu à mon goût_suite à certaines de mes expériences, au cours desquelles j’ai pu entendre_entre autre_ « Ah c’est bien de rêver » d’un ton ironique. Qui n’a pas déjà été soumis au cours de sa vie à la « destruction » de ses rêves? Aux regards et propos méprisants face à ses rêves? Suite à quoi, bien souvent, on les range au placard, pensant que c’est utopiste de notre part d’avoir ce rêve soi-disant impossible à atteindre, ou alors inaccessible pour nous, pas fait pour nous, trop grand pour nous.

Le but de la vie n’est-il pas justement de réaliser ses rêves, pour savoir si ceux-là nous satisferaient vraiment? Plutôt que de les fantasmer toute sa vie, sans jamais vraiment savoir si ceux-là nous auraient épanoui?

Tendre vers ses rêves, c’est aussi s’ouvrir à d’autres champs des possibles auxquels nous n’aurions jamais penser. Tendre vers ses rêves, c’est s’apercevoir peut-être que finalement ceux-là n’étaient pas les bons pour nous. Tendre vers ses rêves, c’est apprendre à se connaître et grandir Humainement à chaque instant. Tendre vers ses rêves, c’est pouvoir créer sa vie sur-mesure…

Bref, à quoi servent les rêves si ce n’est pas pour les rendre réel?! Pourquoi nous laisser croire que tel ou tel rêve est inaccessible, nous laissant alors à jamais dans notre imaginaire?

N’est-t-il pas enrichissant de se motiver mutuellement dans la réalisation de ses rêves? Pouvant alors déclencher enthousiasme, envie, émerveillement,  joie, partage, communication avec le coeur, etc…et pouvant aussi créer l’inspiration pour l’autre.

Au combien, je perçois des potentiels autour de moi qui sont à mon grand regret « inexploités ». Tout ça parcequ’on ne sait absolument pas quoi faire face à ses rêves, par où commencer, etc…Mais comment faire quand si peu de gens réalisent leurs rêves? Et quand est-ce que la PHASE EXPERIMENTATION sera intégrée et acceptée dans le processus?

Comment savoir ce qui nous épanouit vraiment, si l’on ne s’offre pas la possibilité d’expérimenter? Mais en même temps, quel espace avons-nous réellement pour le faire? Car oui! Tendre vers ses rêves, ça prend considérablement beaucoup de temps, car le processus demande sans cesse des rééquilibrages pour se rapprocher au + juste de cette vie rêvée tant souhaité. Comme je le disais précédemment, un rêve ne veut pas forcément dire que quand il sera réalisé, nous serons pleinement épanoui; car parfois, entre le rêve et la réalité, il y a un fossé*. Forcément, dans notre rêve, les contraintes n’existent pas. Mais c’est grâce à ces contraintes que l’on pourra savoir réellement si ce rêve est fait pour nous ou non*. Et si c’est non, c’est pas graaaaave!!!! On continue d’expérimenter!…??

*C’est pourquoi définir son système de valeurs_notamment avant la réalisation de ses rêves_ reste aussi une des clés les + importantes dans le processus. C’est grâce à cela que l’on pourra réajuster ses rêves, afin de vivre en accord total avec ses valeurs Humaines(un des facteurs fondamental du bien-être); mais ça, j’en parlerais davantage dans le prochain article sur « Les Emotions-Partie 2 » ??

Allez! Je vous laisse avec le titre « J’ai osé » de Keny ARKANA 

Portez-vous bien!?

Hass?

« Et j’ai osé croire en mes rêves (Sinon qui le fera pour moi ?)

Quand tous veulent te faire rentrer dans les normes (On ne rentre pas dans les normes) »